Australie : la côte ouest
Du 5 au 20 avril 2019
Nous quittons la ferme de Belinda et Graham en bus, et rejoignons l’aéroport de Perth pour louer une voiture. Nous avons laissé toutes nos affaires de camping à Phnom Penh mais pour profiter de l’Australie à moindre coût, le camping nous parait une bonne idée. En plus, nous aimerions en faire en Nouvelle Calédonie et au USA. Nous avons donc profité de notre séjour à la ferme pour acheter tout le nécessaire pour camper, à bas prix, et nous avons choisi une grosse valise pour tout transporter.
Nous récupérons la voiture, une Hyundai I30 automatique pratiquement neuve et bien équipée. La marque de la voiture est un hasard (le site indiquait Toyota Corolla ou similaire…) mais après tant d’année à rouler en Hyundai, ça nous plait bien. Petit moment de solitude pour Damien quand vient le moment de prendre la route. Ca fait un an qu’il n’a pas conduit et il n’a jamais conduit une automatique… Il nous fait quelques frayeurs en appuyant violemment sur le frein sur les premier mètres, en cherchant l’embrayage 🙂 Ajoutons à cela le fait de rouler à gauche et d’avoir tout inversé (essuies glaces, clignotants,…). Bref, le premier kilomètre se fait un peu à tâtons mais après ça roule 🙂 Il y aura bien sur quelques moments de « mince, je suis du mauvais côté » plus tard mais dans l’ensemble, il s’en est super bien sorti.
On est vraiment ravis de reprendre la route et il nous tarde de découvrir l’Australie.
Nous faisons notre première nuit en tente dans un camping à Perth. Pendant la nuit, la température descend à 5 degrés et nous avons vraiment super froid ! Grosse surprise alors qu’il fait plus de 20 degrés la journée. Nous n’avons que des petits sacs de couchage, évidemment… Nous nous blottissons les uns contre les autres pour essayer d’avoir un peu de chaleur mais la nuit est longue et le matin, on part acheter des gros plaids avant de reprendre la route.
Nous partons jusqu’à Geraldton, à 4h30 de route au nord de Perth. La route est assez longue, et nous découvrons les paysages sans fin, désertique, où nous ne croisons rien ni personne pendant un moment. Nous arrivons le soir chez Cath, Gaetan et leurs enfants, Héléna, Thalia, Laurélie et Raphaël. Ils sont français et vivent depuis plus de 10 ans en Australie. Ils ont fait un long tour du monde en camping car et à vélo et sont rentrés il y a moins d’un an (Un petit tour de France).
Nous y restons deux nuits et passons vraiment un très bon moment avec eux. Ils nous apprennent beaucoup de chose sur l’Australie. Ici, les gens ont l’air très zen, tout a l’air plus cool. Les enfants se baladent en liberté sans que les parents ne sachent où ils sont, ils vont à l’école seuls à vélo, les écoles ne sont pas clôturées. On se sent vraiment en sécurité dans ce pays et on apprécie ce sentiment.
Nous découvrons aussi leur mode de vie, très différent du nôtre et très intéressant. Ils mènent une vie simple, proche de la nature, avec du temps pour eux, consomment peu, cuisinent énormément. Et le plus intéressant était de voir leur fonctionnement scolaire avec leurs enfants qui sont en « unschooling ». Donc, pas d’école ! Et c’est intéressant de voir comment chaque enfant apprend par lui-même, à son rythme, et a aussi énormément de temps pour découvrir les arts et la musique.
Nous reprenons la route vers le sud le dimanche avec plein de livres de chez Cath, pour le plus grand bonheur des enfants, et faisons notre premier arrêt dans un « free camp« . Ce sont des aires de camping gratuit, et ça c’est vraiment top en Australie. Il y a beaucoup d’endroits où nous avons le droit de planter la tente gratuitement (ou encore plus si nous avons un van). Nous voici au milieu du bush, sur une aire de repos avec 3 tables et rien d’autre, à planter notre petite tente. Ici, c’est écrit très clairement, nous avons le droit de rester 24 heures. On a un petit doute par rapport au fait que les tentes soient autorisées mais notre application nous dit que oui… Ici, pas de toilettes ni de douches mais on trouve dans toutes les villes des toilettes publiques très propres, avec du papier. Et en bord de mer, il y a toujours des douches. Ils ont même des barbecues électriques dans beaucoup de parcs, avec tables de pique nique, point d’eau etc… Le top du top.
Nous sommes seuls pour la nuit, profitons d’un joli coucher de soleil puis admirons le plus beau ciel étoilé jamais vu depuis le début du voyage. On voit toute la voie lactée, c’est incroyable ! Pendant la nuit, nous entendons des petits bruits de pas, probablement d’un kangourou venu tourner autour de la tente.
Nous repartons sur ces routes du bush, à la terre si orange et aux paysages infinis. Nous faisons notre premier arrêt près d’un lac, pour y découvrir les stromatolites, des formations calcaires.
Nous partons ensuite en direction du désert des Pinnacles. Nous y voyons des panneaux bien australiens, avertissants de faire attention aux kangourous et aux émeus. Et nous voyons nos premiers kangourous vivants 🙂 Oui car par contre, il faut bien avouer qu’on en a vu quelques uns morts au bord de la route avant… C’est d’ailleurs pour cela qu’ici, tout le monde évite de rouler la nuit. Ils sont peureux et un peu loin arriver à les prendre en photo mais nous sommes tout contents.
Nous arrivons au désert des Pinnacles, un ensemble étonnant de formations calcaires provenant de coquillages. Ce désert n’a été découvert qu’en 1960 lorsqu’un avion y fait un atterrissage forcé. On se croirait vraiment dans un autre monde !
Nous avons ensuite continué notre route vers Lancelin, où nous avons découvert d’immenses dunes de sable blanc. Les enfants étaient ravis, ils ont escaladé les dunes, fait des descentes en « luge » sur une planche de bodyboard et seraient bien restés plus longtemps. Nous nous trouvons ensuite un autre free camp, moins sympa car dans une sorte de terrain vague avec d’autres personnes, mais toujours avec ce magnifique ciel dégagé 🙂
Le lendemain, nous partons en direction du parc national de Yanchep, où nous allons passer une nuit de camping. C’est le seul endroit de l’ouest où il est possible de voir des koalas en liberté. Ils vivent normalement à l’est de l’Australie mais certains ont été importés ici. Nous les avons vus au beau milieu de la journée donc la plupart dormait, bien perchés en haut des arbres, changeant de position de temps en temps. Il faut dire qu’ils dorment jusqu’à 22 heures par jour. Mais nous avons eu la chance d’en voir un qui mangeait. C’est vraiment trop mignon comme animal, on aurait vraiment envie de leur faire un gros câlin 🙂 C’est l’occasion pour moi de relever un des défis lancés par mes collègues : un selfie avec un koala.
A Yanchep, il y a aussi des kangourous qui se baladent en liberté dans le parc. Nous sommes tout contents d’en découvrir quelques un cachés à l’ombre des arbres. Après avoir installé notre tente, nous entendons quelques bruits de pas dans les bois derrière et remarquons que 2 kangourous se promènent non loin de notre tente. Il commence à faire plus frais et ils sortent de l’ombre pour chercher à manger. Nous en rencontrons quelques uns dans le camping et décidons de retourner dans le parc, où nous en voyons des dizaines, en train de manger l’herbe tranquillement. Ils nous surveillent d’un oeil mais nous pouvons sans soucis prendre des photos (et le selfie pour les collègues 😉 ), vidéos et profiter de ce spectacle.
Le soir, de retour au camping, nous cuisinons dans la cuisine très bien équipé du camping (tout est toujours super bien équipé, et propre ici, c’est tellement agréable) et nous avons pour spectacle une dizaine de kangourous mangeant juste devant nous. Après le repas, Hugo et Soline écoutent une histoire audio pendant que nous papotons avec d’autres français et nous avons la surprise de retrouver Soline endormie à table.
Le lendemain, nous reprenons la route en direction d’Albany, le point le plus au sud de notre périple. Ca nous fait beaucoup de route d’un coup mais la météo devrait être correcte les prochains jours et se dégrade beaucoup après. Si nous voulons en profiter, nous devons faire la boucle dans l’autre sens par rapport à ce que nous avions prévu. Albany est beaucoup plus au sud, donc il y fait beaucoup plus froid… Hé oui, nous sommes dans l’hémisphère sud et tout est inversé ici… Jusqu’au soleil, qu’on voit bouger de la droite vers la gauche, contrairement à chez nous et qui, à midi, nous indique le nord et non le sud… J’avoue qu’on a mis quelques jours à comprendre tout cela.
Nous nous arrêtons un peu avant Albany, dans le pire free camp depuis le début. Nous sommes à côté d’une route très passante, où nous entendons toutes la nuit les « road train », ces camions à plusieurs remorques extrêmement longs. A d’autres endroits, ils peuvent atteindre 200 tonnes et 50 mètres de long, mais pas sur cette route, heureusement. Nous dormons donc assez mal et je suis réveillée en sursaut par un bruit sourd. Plus rien après, j’en arrive à me persuader que j’ai rêvé… Et au réveil, nous avons la surprise de voir qu’un arbre s’est écroulé à quelques mètres de nous… Dire que la veille j’avais songé à planter la tente en dessous… Je ne sais pas ce qui m’inquiète le plus : être la seule à m’être réveillée ou avoir réussi à m’auto-persuader que c’était un rêve !?
A Albany, nous visitons le parc du Torndirrup et ses jolis paysages. Nous allons jusqu’au « blowhole« , ce trou dans la roche qui crache de l’eau et de l’air au rythme des vagues. La mer n’était pas déchaînée quand nous y sommes allées mais c’était sympa à voir quand même. Nous sommes aussi allés voir le « gap« , ce pont au dessus de l’eau. Juste à côté, l’eau entre avec beaucoup de vitesse dans une sorte de brèche que nous pouvons surplomber d’une nacelle en métal. Impressionnant ! Les enfants seraient restés des heures à admirer le spectacle.
Nous reprenons ensuite la route, direction un endroit de free camp qui nous parait bien sympa d’après l’application Wikicamps. Après plusieurs kilomètres, nous nous enfonçons dans un parc national pendant 5 kilomètres de piste bien praticable puis nous arrivons à une petite cabane en bois au milieu de nulle part. L’endroit est génial. Nous avons la possibilité de dormir dans cette petite cabane, il y a une table et de quoi faire du feu et même des toilettes sèches. Cet endroit est laissé à disposition gratuitement et ce soir, nous sommes seuls à en profiter 🙂 (d’après le livre d’or, l’endroit est souvent occupé et parfois partagé par plusieurs personnes). Nous montons tout de même notre tente dans la cabane, ça évitera les insectes et autres animaux… On n’est pas paranos et mais nous sommes tout de même en Australie et le nombre d’araignées horribles que nous avons croisées est déjà assez impressionnant. Aucune veuve noire pour le moment mais on préfère être prudents. Cette sensation d’être seuls au monde à ce point, sans aucun réseau et personne à des dizaines de kilomètres à la ronde est unique depuis le début du voyage et nous savourons vraiment.
Nous repartons le lendemain, croisons quelques émeus sur la route, puis nous arrêtons à Walpole, dans la vallée des géants, pour découvrir des Eucalyptus géants, qui peuvent atteindre plus de 70 mètres. Un parcours est aménagé avec des nacelles, qui vont jusqu’à 40 mètres de hauteur. C’est impressionnant d’être au coeur des arbres à cette hauteur. Les nacelles bougent avec le vent, avec une sensation assez semblable au fait d’être en bateau (à en croire mon léger mal de mer…). Nous apprécions encore plus la balade au pieds des arbres, qui nous permet aussi de regarder les grands trous à leur pieds, agrandis par les insectes ou les incendies, qui sont nombreux dans la région.
Nous partons ensuite au Gloucester National Park, pour escalader un eucalyptus géant de plus de 70 mètres ! En arrivant au pieds, on se sent vraiment tout petits. De longues tiges de fer sont plantées dans l’arbre, comme une échelle, afin de permettre de rejoindre une plateforme au sommet. Ces plateformes étaient utilisées avant pour guetter les incendies. Il n’y a absolument aucune sécurité, si ce n’est un petit filet en dessous des barreaux. On n’est absolument pas attachés et lorsque j’ai vu la hauteur, j’ai de suite abandonné l’idée d’y grimper. Damien s’est lancé mais entre les barreaux qui bougent, la hauteur impressionnante et l’absence de système de sécurité, il a préféré faire demi tour. Il faut vraiment le sentir et ne pas du tout avoir le vertige pour y grimper… Hugo aurait aimé aller tout en haut lui… Mais c’est nous qui l’avons freiné… Bien trop dangereux de notre regard de parents mais il a tout de même pu s’essayer sur quelques mètres.
Nous dormons ensuite dans un free camp en bord de route. Il y a avec nous un van et une autre voiture. Le matin, on se lève tôt et… il se met à pleuvoir juste après qu’on ait ouvert les yeux. On met les enfants dans la voiture et on plie vite fait sous la pluie. A 2 minutes près, on pliait au sec.
On prend la route et on se dirige directement vers Hamelin Bay, un endroit de la côte où on peut voir des raies manta de très près. Mais pas de chance pour nous, il y a beaucoup de vent, il fait froid et la mer est déchaînée ! Les grosses vagues remuent tout et les raies ne sont pas là. On demande aux pêcheurs mais ils nous expliquent que c’est le temps annoncé pour les trois prochains jours et que malheureusement on ne pourra pas voir les raies… C’est vrai que l’endroit ne ressemble pas du tout aux photos avec une mer super calme et turquoise… Ici, on peut les voir pratiquement toute l’année. Mais pas aujourd’hui… On repart vers la pointe sud, très déçus 🙁
Nous descendons ensuite jusqu’à Augusta, découvrons les jolis paysages de la pointe sud et le phare, avant de remonter vers Margaret River où nous prenons le pique nique dans un des jolis parcs comme on les aime. Surtout les enfants, qui adorent découvrir toujours plus de parcs et de jeux. C’est le paradis des enfants ici.
Nous reprenons la route vers la pointe « nord » mais le phare est en travaux et nous repartons vers Busselton après une petite balade.
Ce n’était pas la journée rêvée et nous sommes déçus de ne pas avoir profité de ce bel endroit d’Australie comme on l’aurait imaginé.
Nous décidons de nous arrêter dans un beau camping à Busselton pour deux nuits. Nous avons énormément roulé ces derniers jours pour en voir un maximum, avec beaucoup d’hébergements gratuits, et nous avons envie d’un peu plus de confort et de nous poser un peu. La différence de prix entre les petits camping et un plus grand avec piscine et jeux étant vraiment minime, nous choisissons celui où les enfants vont pouvoir s’amuser. Ils s’éclatent sur le trampoline géant et jouent avec plein d’enfant. Même si une cascade à 2 sur la même tyrolienne vaut quelques bleus à Soline, et une bonne frayeur pour tout le monde, ils gardent de super souvenir de cet endroit. De notre côté, on apprécie de ne pas replier la tente le lendemain et, même si le temps empêche de profiter de la piscine, le repos est bienvenu.
Nous faisons un petit tour à Busselton, découvrons la jetée, toujours avec une météo peu clémente et de grosse vagues à cause du vent. Du coup, les enfants s’amusent un peu sur une aire de jeux, superbes comme toujours en Australie, et nous ne nous attardons pas.
Nous reprenons la route le lendemain, en passant par Bunbury. Ici, en face du Dolphin Discovery Center, on peut très souvent apercevoir des dauphins. Mais pas aujourd’hui 🙁 Il fait toujours trop mauvais. On a joué de pas de chance pour toute cette partie, qu’on aurait aimé découvrir dans des conditions idéales. Les enfants s’amusent un moment dans un parc de jeux face à la mer, malgré le vent froid, puis nous continuons notre route jusqu’au sud de Perth, où nous faisons un dernier free camp sur une aire au bord de la route, avec de très nombreux autres voyageurs. Le matin, nous voyons une énorme araignée bien effrayante accrochée au plafond des toilettes. Brrr… On a beau s’y habituer et savoir que ce ne sont pas les grosses qui sont dangereuse, ça impressionne toujours.
Nous reprenons la route en direction de Perth. Notre « petite » boucle est maintenant terminée. Nous avons roulé plus de 2500 km en 10 jours… C’était beaucoup et assez fatigant mais nous avions envie de découvrir une petite partie de cet immense pays ! Mais nous avons apprécié ce mode de déplacement avec notre petite tente, avoir la liberté d’aller où on veut et tout à disposition dans le coffre.
Nous passons l’après-midi à Kings Park, ce parc immense à Perth avec une jolie vue sur la ville. Les enfants s’amusent, on se repose… Puis nous retournons au premier camping du périple, celui où on avait eu si froid 😀
Le lendemain, pour notre dernier jour, nous prenons le bateau pour Rottnest Island. C’est une petite île en face de Perth, qui abrite un grand nombre de Quokkas, des petits marsupiaux qui ne vivent que dans cette région. Ils ressemblent à de gros rat mais se déplace un peu à la façon des kangourous, c’est très étonnant ! Ce sont des animaux qui craignent la lumière mais nous en croisons rapidement quelques uns à l’ombre des arbres. Nous faisons une petite balade sur un bout de l’île (on n’avait pas trop préparé ce qu’on souhaitait faire à part voir les Quokkas et on avait finalement trop peu de temps pour profiter de l’île) et rejoignons un phare et une jolie plage. Nous retournons ensuite près du port pour prendre le pique nique et là, on remarque plein de Quokkas qui se baladent entre les tables à la recherche d’un peu de nourriture. Ils ne sont pas trop farouches et les magasins sont même obligés de mettre de petites portes en verre pour éviter qu’ils ne rentrent.
Le 19 avril, le réveil est un peu difficile après une nuit sous la pluie et la tente qui a pris l’eau… Les couvertures sont mouillées, le duvet d’Hugo aussi… Il a eu bien froid ! Heureusement que j’ai mes petites huiles essentielles pour booster un peu l’immunité, on en a tous bien besoin. On doit partir avant 10 heures et il faut tout sécher, y compris la tente, avant de partir. Autant dire que ça râle un peu (beaucoup !). On a tout de même droit à un joli arc en ciel entre deux averses 🙂
On passe une après-midi tranquille et nous rendons la voiture de location le soir. Pour notre dernière nuit, ce sera un hôtel près de l’aéroport car nous devons y être à 5 heures du matin le lendemain !
Après une courte mais bonne nuit dans un lit douillet, nous sommes prêts à décoller pour Sydney ! Dès que nous arrivons à l’aéroport et qu’on me voit avec Soline encore bien fatiguée dans mes bras, on me propose directement une poussette gratuite, à conserver jusqu’à l’embarquement. C’est ça aussi l’Australie 🙂 Nous découvrons pour la première fois du voyage, des bornes partout dans l’aéroport pour enregistrer les bagages. Nous allons ensuite les déposer et ils sont scannés. Tout se fait automatiquement.
Nous voici partis pour 4h de vol (et 2 heures de décalage horaire).
La suite dans le prochain article 😉
C’est avec grand plaisir que nous avons retrouvés votre grand reportage détaillé et vivant sur ce séjour en Australie. Emilie est vraiment une reporter hors pair et sait nous faire partager tous les petits moments au jour le jour avec humour et sincérité Merci à elle. Je peux vous dire que l’on apprécie.
J’ai cru comprendre que l’on ne vous verrait pas pour fêter les 20 ans d’ Emmanuelle et Albert puisque vous serez sur les routes pour regagner Marvejols.
Bises à tous les 4
Oh merci beaucoup, c’est très gentil 🙂
Pour les 20 ans d’Emmanuelle et Albert, on n’a pas les infos exactes mais je pense que c’est avant qu’on reprenne la route.
Bises de nous 4.