Luberon – Etape 13 – Nîmes – Mende – Marvejols

Samedi 29 juillet, nous bénéficions d’un p’tit dej’ tardif à l’auberge de jeunesse, et une traversée de Nîmes par la Maison Carrée et les Arènes.

Après avoir fait des provisions pour le midi, nous rejoignons la gare pour connaitre la voie.

A Nîmes c’est simple pour accéder aux quais puisqu’il y a des escalators et les tandems passent bien avec les sacoches dans les escalators. On fait descendre les enfants et Damien, les mains sur les freins, laisse monter le vélo. Ils n’y sont que pour monter mais quand on arrive en gare, les quais sont en haut. C’est donc vraiment royal et beaucoup moins fatigant.

Une fois le train arrivé, nous rentrons précipitamment dedans pour être dans les premiers vélos et avoir la place de ranger nos tandems.

Nous avons du coup innové car la configuration de l’espace vélo était pour la 5ème fois différente. Malgré tout, on choppe notre sourire, le plus beau, et on le donne au contrôleur pour qu’il ne nous enquiquine pas, car il aurait le droit de les refuser si ça gène la circulation. On aide les « anciens » avec leurs valises pour éviter que ça râle sur nos machines.

Mais tout se passe bien et nous attendons La Grandcombe pour que le train se vide et que nous puissions respirer.

3 heures plus tard, nous arrivons à Mende pour nos derniers kilomètres vers Marvejols. Le ciel est gris, on sent 3 gouttes et on commence à se dire qu’on a la poisse à Mende…

Mais non, ce ne furent que 3 gouttes, les orages grondent mais passeront ailleurs et nous rejoignons Marvejols en 2h15 (pauses incluses) en passant par le col de Vielbougue.

Dans ce sens c’est effectivement très facile car profil descendant, en dehors du col.

A l’arrivée, avec notre dernière étape, nous aurons donc roulé 440 kilomètres sur les 13 étapes en 38 heures et 32 minutes, étalés sur 15 jours d’itinérance.

Nous sommes donc exactement dans les moyennes que l’on prévoyait et ceci sans entraînement au préalable.

On ne manquera pas de s’entraîner quand-même pour le GRAND DEPART car cette fois, il n’y aura pas de train pour traverser les Cévennes.

Merci pour les encouragements et nous publierons prochainement un article sur le retour d’expérience sur le train, les campings et puis le matériel.

2 réponses

  1. HUET Marie dit :

    Coucou, c’est Marie, la copine de Jean-Paul et Hélène. Marie-Claire m’a envoyé l’adresse de votre site. Super intéressant! surtout que vous m’aviez mis l’eau à la bouche quand on s’est vus à Marvejols.
    J’ai beaucoup apprécié que vous expliquiez les raisons de ce projet: très cohérent.
    Beaucoup aimé aussi le récit de votre périple dans le Luberon avec les difficultés rencontrées et aussi les plaisirs. J’ai pu revoir, via vos photos, beaucoup d’endroits où je suis allée randonner avec René et Marie-Claire. Que des bons souvenirs.
    Alors merci de partager avec nous cette aventure.
    Bises

    Marie

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